Ils étaient plus de trois cents dans une salle du Palais des Congrès pour soutenir Emmanuel Macron, l’improbable candidat "ni de droite ni de gauche entendons nous" mais de la société civile. C’est en tout cas l’idée qui était défendue.
Don Pierre Alessandri, président du comité d’Ajaccio a ouvert la réunion en assumant le rôle de simple citoyen engagé qui n’avait jamais connu auparavant l’engagement politique. A la veille d’un second tour il est revenu sur les premières réunions qui ne rassemblaient que peu de militants tandis que la salle que se remplissait peu à peu jusqu’à réunir plus de trois cents militants.
Beaucoup d’élus actuels et anciens étaient présents mais aussi des jeunes à l’mage de Lolla Di Vico, référente des jeunes avec Macron en Corse à tout juste vingt trois ans. « Je connais mon premier engagement politique et militant. Aucun parti ni mouvement n’avait suscité mon engagement. Ce qui m’a séduit dans le mouvement « en marche » c’est le dépassement des clivages et le rassemblement des personnes et des idées ».
Partisan par dessus tout l’ancien conseiller municipal et général François Casasoprana qui était sorti de la scène politique était présent malgré tout après des mois de campagne engagée : « Je salue les comités d’Ajaccio et du Grand Ajaccio ainsi que les jeunes avec Macron sans lesquels ce rassemblement n’aurait été possible. Sur Ajaccio nous avons réuni 4 500 voix c’était un objectif ambitieux. Cet objectif ouvre tous les champs du possible ».
De nombreux élus et militants de toute la Corse avaient en effet fait le déplacement pour l’événement à l’image de Jean-Charles Orsucci, maire de Bonifacio : "En marche est avant tout un mouvement citoyen et c’est ce qui fait notre force. Je ne suis pas un militant de première heure d’Emmanuel Macron mais j’ai souhaité m’engager sur un projet politique. Il a le projet d’ancrer la Corse dans la République". Celui qui était attendu était bien sur Christophe Castaner, porte-parole d’En Marche.
Ce dernier a rappelé combien la Corse était importante dans la République mais aussi en tant que région avec ses spécificités. « Ne vous laissez pas abuser par les faux patriotes. Ceux qui veulent une France uniforme et fermée. Nous sommes les vrais patriotes. Nos ancêtres ne sont pas tous des gaulois. Nous avons ce respect du peuple corse de cette identité corse. La Corse a porté l’espoir de l’humanité, a inspiré la constitution française et américaine. Avec la Corse, la France a été un modèle d’humanité ».
Des élus et des militants nombreux et enthousiastes donc, prêts à continuer les quatre jours de campagnes qui s’annoncent avant le deuxième tour.
Don Pierre Alessandri, président du comité d’Ajaccio a ouvert la réunion en assumant le rôle de simple citoyen engagé qui n’avait jamais connu auparavant l’engagement politique. A la veille d’un second tour il est revenu sur les premières réunions qui ne rassemblaient que peu de militants tandis que la salle que se remplissait peu à peu jusqu’à réunir plus de trois cents militants.
Beaucoup d’élus actuels et anciens étaient présents mais aussi des jeunes à l’mage de Lolla Di Vico, référente des jeunes avec Macron en Corse à tout juste vingt trois ans. « Je connais mon premier engagement politique et militant. Aucun parti ni mouvement n’avait suscité mon engagement. Ce qui m’a séduit dans le mouvement « en marche » c’est le dépassement des clivages et le rassemblement des personnes et des idées ».
Partisan par dessus tout l’ancien conseiller municipal et général François Casasoprana qui était sorti de la scène politique était présent malgré tout après des mois de campagne engagée : « Je salue les comités d’Ajaccio et du Grand Ajaccio ainsi que les jeunes avec Macron sans lesquels ce rassemblement n’aurait été possible. Sur Ajaccio nous avons réuni 4 500 voix c’était un objectif ambitieux. Cet objectif ouvre tous les champs du possible ».
De nombreux élus et militants de toute la Corse avaient en effet fait le déplacement pour l’événement à l’image de Jean-Charles Orsucci, maire de Bonifacio : "En marche est avant tout un mouvement citoyen et c’est ce qui fait notre force. Je ne suis pas un militant de première heure d’Emmanuel Macron mais j’ai souhaité m’engager sur un projet politique. Il a le projet d’ancrer la Corse dans la République". Celui qui était attendu était bien sur Christophe Castaner, porte-parole d’En Marche.
Ce dernier a rappelé combien la Corse était importante dans la République mais aussi en tant que région avec ses spécificités. « Ne vous laissez pas abuser par les faux patriotes. Ceux qui veulent une France uniforme et fermée. Nous sommes les vrais patriotes. Nos ancêtres ne sont pas tous des gaulois. Nous avons ce respect du peuple corse de cette identité corse. La Corse a porté l’espoir de l’humanité, a inspiré la constitution française et américaine. Avec la Corse, la France a été un modèle d’humanité ».
Des élus et des militants nombreux et enthousiastes donc, prêts à continuer les quatre jours de campagnes qui s’annoncent avant le deuxième tour.